lundi 26 décembre 2011

Noël a des lendemains qui enchantent...

Un conte pour Noël

 Il était une fois une étoile qui vivait sous les tropiques … elle menait une vie insouciante et heureuse et brillait de mille feux dans le ciel de ce pays … il faisait chaud, mais chaud … même la nuit … mais elle, elle était ravie de ce climat et ne s’en plaignait pas.

Au fil des années, elle commença à ne plus être très à l’aise, cette chaleur l’incommodait, elle avait maintenant des vertiges dans la torpeur de la nuit. Elle décida donc, à regret de quitter ce beau ciel tropical pour un pays plus tempéré.

Dès le premier soir, elle perçut la différence, il faisait bon … un peu frisquet tout de même mais elle avait fait un choix qu’elle estimait judicieux et il fallait bien s’adapter à ce nouveau climat.



Ainsi commença sa nouvelle vie qui dura, dura …

Quelques jours avant Noël un petit garçon était en train de décorer l’arbre de Noël, il leva la tête et par la fenêtre contempla le ciel peuplé de mille petites étoiles … soudain il la vit particulièrement brillante et un peu isolée des autres … en la fixant bien, cette singulière étoile semblait même lui sourire … Il soupira et la montrant du doigt s’exclama « ce qu’elle est belle  et brillante, je la veux pour l’arbre ! ».

Le lendemain soir, il scruta à nouveau le ciel très étoilé … il chercha en vain cette étoile brillante … il y en avait bien sûr beaucoup d’autres mais celle de la veille, celle qui lui avait souri n’était plus là …Il se demandait où elle avait bien pu partir… Le soir de Noël, il fit un vœu : « revoir ma drôle et belle étoile, vous savez celle qui m’a souri tendrement »… sa maman lui dit : ne sois pas triste elle est heureuse puisqu’elle a rejoint son bien-aimé et ce soir elle est revenue se poser au sommet du sapin pour ne  briller que pour toi …
Zaza




mercredi 14 décembre 2011

ateliers-Ah, ce couloir "vert" bienfaisant!


Les saules têtards ont été taillés.


Pas que des inconvénients la chute des feuilles :
de cet observatoire on aperçoit un lotissement provillois.

 A l'aide du zoom...


Ce chemin sera encore noirci par
 la décomposition des feuilles en terreau.



Le lierre : un serpentin qui reste vert malgré l'hiver.


Les équipes d'entretien sont passées par ici.

  
Le chemin est bien entretenu pour le confort des usagers occasionnels.

  
Vous situez?

  
Non, ce ne sont pas les pierres jumelles.



Ce saule pleure et se désole : un de ses voisins est réduit à l'état de squelette.


Petites maisons habitées autrefois par des mariniers
incapables de s'éloigner de leur lieu de vie.


Baraquements bien entretenus datant des années 1919-1920.



Les pensées fleurissent tardivement.


Tout là-bas, un clocher...


L'un des trois clochers.





Qu'est-ce qu'une oeuvre d'art?



L'a oublié un artichaut le maraîcher?


C'était autrefois la Maison de campagne
 de l'abbaye Saint-Sépulcre (vue du parc).




Près du moulin, mais pas sur Proville.



Vous situez aussi?